Heureux sans le savoir
Il y a 5 jours
C'est arrivé une fois de trop. Alors veuillez prendre note qu'il est strictement interdit de s'inquiéter de la santé physique ou mentale de l'auteur de ce blogue. Je suis malade et je m'assume donc tout va très bien même quand ça va mal. Merci de respecter rigoureusement cette consigne.
200 commentaires:
Depuis le 10 mai, j'ai publié ici 22 billets dont aucun n'a reçu le moindre commentaire, alors aujourd'hui je me fais un petit cadeau.
le commentaire bienvenu
P.S. les vôtres seraient aussi acceptés
Ça me rappelle une histoire triste. Adolescent, j'ai été moniteur dans un camp de vacances.
Et un de mes collègues s'écrivait des lettres, qu'il prenait le temps de lire, parce qu'il aimait recevoir du courrier.
Ce que je fais aujourd'hui est un peu la même chose.
L'apitoiement lamentable
Maintenant que j'ai commencé, je ne suis plus certain de pouvoir m'arrêter.
le plaisir confus
Je n'ai pas fini et vous non plus.
Je pense que je vais désormais publier tous mes billets ici, dans la rubrique commentaire.
L'acharnement continu
Un instant j'ai envisagé la possibilité d'essayer d'établir un record Guinness du plus grand nombre de commentaires laissés par un auteur dans son propre blogue.
Mais, sous prétexte que l'exercice serait futile, je n'ai pas le goût de me donner tant de mal pour établir un record qu'un autre idiot voudra battre à tout prix.
la perte par défaut
Une autre idiotie serait de publier un commentaire à chaque minutes.
La liste de commentaires n'indique que l'heure de sorte qu'il est possible de faire 1440 commentaires à des heures différentes.
la montre en panne
Encore un petit plaisir solitaire.
L'histoire de l'onanisme
Je suis dans une phase particulièrement productive.
Une chance que j'ai un autre blogue.
Le créateur inassouvi
Je vous l'avais dit mes cocos. C'est ici que ça se passe.
l'ailier gauche
Alors, les nerfs, ça va ?
le petit valium
Je viens de relire Avis public et je trouve ça vraiment niaiseux.
l'auto-critique
Encore un petit.
la première douzaine
Ouf! C'est le treizième. Je croise les doigts.
le porte-bonheur
Finalement, je pense faire de cet endroit ma poubelle. Un lieu où je pourrai écrire tout ce qui est vraiment trop stupide même pour délirium.
le blogue parallèle
Et pour commencer cette nouvelle vocation : je n'aimerais pas être un siège de toilette, même celui de Carla Bruni (ou de celle que vous préférez) : si l'argent n'a pas d'odeur, la marde en a elle.
le ridicule qui ne tue pas
Je ne voudrais pas non plus être un tampon, surtout mais non seulement parce que ça me ferait chier d'être jeté après usage.
l'encore utile
Je ne voudrais pas que Bryan Adams se rende jusqu'ici, lui qui ne veut pas que l'on parle de lui dans nos blogues.
l'aide juridique
Je ne voudrais pas être le chauffeur de Tom Cruise parce que je ne veux pas mourir dans un accident de voiture.
le danger ambulant
De l'une à l'autre.
18 c'était l'anniversaire de ma première conjointe
19 celui de la seconde qui est pour toujours la première à mon classement général
hommage à ma pitoune
Je ne serai pas venu ici en vain.
Le 20ème commentaire
Comment taire mon enthousiasme devant ce déluge de commentaires.
l'arche de Noé
Bizarre, je suis encore réticent à sacrer ou à utiliser des gros mots sur ce blogue.
le pipi-caca
Si vous passez par ici, je vous serai reconnaissant de bien vouloir laisser votre commentaire sur un autre de mes merveilleux billets.
J'essaie d'établir un record !
la traversée solitaire
J'ai toujours été un grand rêveur. Dans tous les sens du mot, mais surtout pendant mon sommeil.
Mais pour la première fois, pendant une courte sieste hier, il m'est arrivé de faire un rêve complètement en animation.
la bande dessinée
C'est bien vrai, dans les 20 derniers visiteurs, je figure 19 fois.
L'intérêt composé
C'est quand même un peu pathétique. Un seul visiteur au cours des cinq derniers jours.
Et le blogue de Dullbert qui est disparu de la carte.
His blog was duller than mine ? Come on !
le cowboy solitaire
C'était bien prévisible.
Est-ce le début d'un ralentissement ou le début de la fin ?
le doute qui s'installe
J'ai atteint mon objectif sans même le viser.
Mes deux derniers commentaires ont été enregistrés à la même heure.
le coup de chance
C'est maintenant plus difficile de faire de nouveaux commentaires : je dois maintenant me rendre dans mes archives.
le paresseux de service
Et bien ma vieille, je viens d'en manger toute une.
Une confrontation avec la réalité comme il ne m'en est arrivé qu'une fois par décennie.
Je suis sorti de la track.
Il va me falloir recommencer à tracer les sillons de ma nouvelle zone de confort.
Je suis content que si peu de monde passe par ici. Ce n'est pas trop mon genre de pleurer sur la place publique.
les yeux secs
Finalement ce tout petit coin de blogosphère semble sur le point de venir remplacer le vieux journal personnel que je tenais quand j'étais ado.
Je suis triste.
Je me sens trahi.
Rejet comme disent peut-être encore les jeunes d'aujourd'hui.
le coeur gros
Ça y est. Quand je vais quitter ce clavier, j'irai faire la toilette de mes lunettes et je prendrai mon bolide pour aller couper des ponts.
la pluie qui tombe
Il fait sombre aujourd'hui.
l'aveugle
Avez-vous vu l'heure ?
Comment se fait-il que vous ne soyez pas couchés ?
l'insomniaque amusant
Heureusement, ma fatigue n'est pas contagieuse.
le flanc mou
Je franchis de ce pas l'étape de la troisième douzaine.
le tour du jardin
C'est jour d'élections au Québec. Ça vaut bien un 37ème commentaire.
Je vais voter exactement comme au fédéral. J'ai écrit un billet en quelque part là-dessus.
le vote blanc
Pour une fois, je crois que cette route me rendra service : je n'arrive pas à me brancher à partir de l'ordinateur que j'utilise ce matin.
la perplexité interrogative
Bingo ! Mon petit truc a fonctionné.
la pensée cochonne
Évidemment que le 40ème commentaire pourrait être source de grivoiserie, mais ce ne sera pas le cas.
la pudeur castrante
Je viens d'entamer ma soixantième année.
le prochain départ
Ça me déprime toujours un peu quand j'ai une pleine page de billets sans que j'aie reçu le moindre commentaire.
Heureusement, journée de faste, j'ai reçu deux offres d'échange de maison aujourd'hui.
l'échangiste chevronné
J'ai suspendu mes activités professionnelles pendant un mois pour me reposer un peu.
Le mois est terminé.
l'échec cinglant
La cadence diminue, c'était prévisible, mais l'abandon n'est pas pour demain.
le numéro 44
Finalement, je pense que ma cachette est pas mal pas pire.
le fin renard
Ce n'est peut-être pas un nouveau record, parce que je ne tiens pas de statistiques. Il n'en reste pas moins que je suis le seul visiteur de ce blogue perdu depuis plus d'une semaine.
le blogueur solitaire
J'ai oublié de le mentionner, je crois, mais Mijestam est venue interrompre ma séquence sans commentaire le 24 novembre soit après une période de six mois et deux semaines.
la résilience du persistant
Suite à mon plus récent commentaire, je tiens à préciser que le mot résilience signifie : résistance d'un matériau au choc.
le choc du silence
Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, car j'ai tendance à radoter, mais si dieu me prête vie, ce qui n'est pas sans intérêt, j'atteindrai l'âge vénérable de 60 ans l'an prochain, ce qui signifie, vous vous en doutez, que je suis dans ma soixantième année.
la recherche d'une excuse
Je traverse une période extrêmement productive en matière de billets.
J'en ponds au moins un par jour sur mon site principal.
la poule aux oeufs d'or
J'ai maintenant un refuge contre mes pannes d'inspiration.
le passage à vide
Ce n'est pas parce que c'est une île qu'il faut que ce soit une île déserte.
le blogue solitaire
Nous sommes le 2 janvier de l'an de grâce 2009. Il est 07h28 AM.
Le dernier visiteur sur ce blogue est venu voir ce qui s'y passe le 22 décembre dernier à 22h38.
Quand je vous dis que ce lieu est presque devenu un journal intime, c'est quand même pas une blague.
la blague intime
Je suis rendu comme Ti-Mé qui surveille ses vidanges dans La Petite Vie.
Mais moi je surveille le vide de votre absence.
la petite vie
Encore une visite de ma part et j'aurai le monopole du palmarès des 20 dernières visites.
l'acharnement thérapeutique
Bon voilà, c'est fait : je me sens maintenant tout à fait chez moi ici.
Mais si quelqu'un devait un jour se rendre jusqu'ici, je lui serais reconnaissant de bien vouloir laisser une trace.
les pieds propres
Bon, ça y est. Quelqu'un est venu troubler ma paix.
Après 10 jours, 18 heures et 7 minutes de solitude, un visiteur de sexe indéterminé qui n'a laissé de trace que sur extreme tracking.
le compteur à zéro
Encore une nuit d'insomnie, une autre que les anglais n'auront pas.
la pâleur cadavérique
J'ai dormi un peu.
Comme d'habitude, c'est pire après.
le retour au lit
Je suis un peu (euphémisme) déprimé aujourd'hui. Je dois me trouver du travail (rémunéré) et je n'arrive même pas à faire ma routine. Comme cette conférence que je dois préparer pour la fin du mois et qui me pèse comme devrait vous peser le poids de vos péchés.
l'hélium lourd
Le vieux, quand sa prostate lui donne le feu vert, s'empresse d'orner sa culotte d'un grand rond humide.
le centre d'accueil
la page est de nouveau parfaite : je suis les 20 derniers visiteurs.
seul sur mon étoile
J'ai l'occasion de faire un retour dans une ligue qui n'a pas toute ma confiance.
le lièvre ou le loup
Journée difficile sur le plan de la santé hier.
Je me sens en convalescence ce matin, ce qui est déjà beaucoup mieux.
Il est évident que les décisions que je dois prendre prochainement sur le plan professionnel me pèsent beaucoup.
Je me croyais sorti d'un bourbier où mes besoins financiers risquent de me précipiter de nouveau.
la misère des riches
De mauvais poil ce matin, alors je vous avertis, si jamais quelqu'un découvre cette cachette et ose y laisser un commentaire ma réaction sera : "Vous pourriez pas aller faire ça ailleurs ?"
un homme averti
Le temps passe et moi aussi
Je viens de moins en moins souvent ici
Le temps passe et je m'oublie
Le temps passe et vous aussi
le salon funéraire
WOW ! J'ai eu un commentaire sur mon dernier billet intitulé : révélation.
le fou de joie
P.S. C'est le 67ème commentaire que je laisse sur Cadeau. 67 est un chiffre mythique dans ma petite vie. J'ai la tentation de m'arrêter ici mais... à suivre (quel suspense mes amis, j'espère que personne ne fera de crise cardiaque).
Les montagnes russes ne sont peut-être pas adaptées au climat nord-américain.
En tout cas, ce matin, je m'en passerais bien.
les larmes aux yeux
Même ce petit jardin secret, il y a bien longtemps que je l'ai visité, trop occupé que j'étais à m'apitoyer sur mon sort, pourtant enviable.
C'est que mon prochain rendez-vous en oncologie (lundi prochain) pourrait bien être le signal de départ d'une chimiothérapie, de faible envergure, mais chimiothérapie quand même.
Ce n'est pas une perspective encourageante.
la survie de l'espoir
À chaque fois que je viens ici, je m'oblige à faire l'inventaire de tous les commentaires pour m'assurer qu'aucun éléphant n'a laissé de trace dans le beurre.
le dépotoir des idées folles
Si j'ai le coeur gros c'est vraiment au figuré, parce que sur le plan physique, on a enfin trouvé un médicament que je peux tolérer et qui contrôle adéquatement ma tension artérielle.
Voilà toujours bien un souci de moins.
la patate enflée
La veille du grand jour.
Vraisemblablement je commencerai ma chimiothérapie demain.
Et la grande question est : vais-je pouvoir tolérer le médicament ?
Parce que les alternatives sont franchement déprimantes.
le couloir de la mort
Bonne nouvelle, je tolère la chimiothérapie sans le moindre effet secondaire (du moins jusqu'ici, moi qui suis résolument optimiste).
J'espère même une amélioration de ma condition.
ainsi va la vie
Un jour peut-être quelqu'un viendra dans ce jardin secret y brouter l'herbe quand je me sens vache, y courir après les voitures quand j'ai la chienne et j'espère que ce sera une fine mouche.
la bestialité assumée
C'est quoi le record ?
le commentaire du perplexe
Comme cadeau, je ne peux pas prétendre que je suis prompt à le partager.
le plaisir solitaire
Avis aux voleurs, je quitte pour la fin de semaine.
Le code d'accès de la porte du garage est 1961*09*19.
Et j'amène le chien avec moi.
Finalement le système d'alarme est débranché.
Je vous demande seulement de ne pas toucher à mes papiers d'assurances.
le propriétaire baveux
Je viens de faire mon 77ème commentaire : ce devrait être le dernier : j'ai toujours dit que je mourrais le jour de mon 78ème anniversaire.
la longévité longitudinale
Ça y est, je l'avoue.
Je suis jaloux de Lurch qui est devenu grand-père des années-lumière avant moi.
J'en ai rêvé que j'avais un bébé dans les bras.
le gâteau sans convive
Je peux bien dire n'importe quoi, il y a environ deux visiteurs par semaine sur ce blogue.
Ce n'est donc pas demain que mon secret risque d'être découvert.
le bien gardé
Je vais mourir malade.
Pas grand chose à dire là-dessus.
Mais ce qui me désole, c'est la perspective de vivre malade jusqu'à ce que la mort m'emporte.
l'allée au diable
Le principal visiteur sur ce blogue qui compte parmi les plus populaires sur la blogosphère est venu plus de 600 fois au cours du mois de mars. Il est actuellement hospitalisé pour des phlyctènes péniens.
le poisson d'avril
Trop niaiseux, même pour ce blogue : Je suis allé dans le Gard à Yeur.
les yeux croches
Bulletin de santé préliminaire:
la médication que je prends commence déjà à porter fruit (si on peut dire)
mes plaquettes ont diminué considérablement
pour l'instant, l'hémoglobine se fait un peu tirer la patte
et les leucocytes ne dépriment pas trop
prochaine prise de sang le 24 avril
l'attente optimiste
Ça aussi c'est trop niaiseux pour mon blogue.
Ça s'intitule : perspective
Hier, je portais des bas neufs.
Aujourd'hui, je porte les mêmes bas, mais ce sont des bas sales.
n'y rien comprendre
Recherché !
Le courage de continuer.
ici comme ailleurs
Ma fille a vraiment fait des conneries sur une grande échelle.
C'est aujourd'hui, qu'avec sa mère, nous la confronterons à notre perception de la réalité.
Si elle se révolte, ça va faire mal.
le besoin de chance
L'onde de choc est passée.
Plusieurs blessés mais personne n'en est mort.
Et plus rien ne sera plus jamais pareil.
le passé simple
Je n'ai pas beaucoup profité de cet espace privilégié pour me plaindre (bof, un petit peu, mais au prix que ça coûte, pourquoi me gêner ?).
Alors voilà, j'ai une nouvelle douleur. Depuis longtemps déjà, parmi mes multiples problèmes de santé, j'ai une cervicalgie. Elle fait partie de mon quotidien et même si je ne l'aime pas, j'ai appris à vivre avec elle.
Mais ne voilà-t-il pas, mesdames et messieurs, qu'une nouvelle composante vient s'ajouter.
Même si j'ai l'impression que cette nouvelle venue est d'origine musculaire, je ne peux que me surprendre de son intensité, et surtout par son caractère qui ne me rappelle aucune de mes anciennes maîtresses.
la personnalité douloureuse
Comme il serait doux d'être croyant ce soir, et de me reposer sur la prière pour essayer de préserver au moins quelque parcelle de mon univers qui s'écroule.
le bout de la merde
Et bien non, ni la prière, ni quoi que ce soit que je puisse imaginer n'aurait suffit à régler la situation mentionnée dans mon dernier commentaire.
le plomb pété
J'ai pété mes plombs hier soir, mais la situation devient plus claire.
Ma fille est déprimée.
Possiblement atteinte du SAD qui a ravagé de nombreuses saisons de ma vie.
le not SAD anymore
Je reviens de l'hôpital. Les nouvelles ne sont ni franchement bonnes, ni franchement mauvaises.
Pour l'instant, ma maladie ne répond pas beaucoup au traitement.
Mais comme je tolère bien cette médication, il est question d'augmenter la dose après mon prochain contrôle si mon organisme ne veut pas entendre raison.
le durée du sursis
Il y a des jours où j'ai l'impression d'avoir assez vécu.
Comme aujourd'hui.
Le bon côté, c'est que cela rend la mort moins effrayante.
Le problème, c'est que je ne la ressens même pas cette peur de mourir.
la joie de vivre
J'ai pissé dans ma bottine
Et chié dans la boîte à pain
J'ai oublié les chansons de mon enfance
Et le goût du sel
poème anonyme
Le grand gagnant du départ de Lurch de la blogosphère est sans doute cet être un peu tordu qu'est le neurone.
En effet, nous avons repris notre échange souvent fébrile de courriel savoureux teintés à la fois de science (sa contribution) et de débilité (la mienne).
Il faudrait qu'on en fasse un nouveau blogue mais ce qui nous retient c'est que nous serions bientôt obligés de le publier et nos voeux d'humilité s'en porteraient mal.
la victoire du privilégié
Je dois bien l'avouer, j'éprouve souvent de la déception devant la réception que reçoivent certains de mes billets.
Il faut bien avouer aussi qu'il n'y a pas tellement d'achalandage sur ce site.
Mais, on peut viser l'excellence, sans viser la popularité.
Quant à l'excellence, seule une petite minorité de mes billets peut y prétendre, mais il y en a qui me font encore rire quand je les relis.
le petit pain
Toute vérité n'est pas bonne à dire mais comme je suis tout seul, en voici une qui n'a pas sa place en public :
les vieux sodomites souffrent plus souvent d'incontinence fécale que de constipation.
l'odeur de la vérité
Trop drôle.
Un recherchiste de Radio-Canada est allé consulter ma deuxième chronique du docteur Rikse qui porte sur la grippe porcine.
Je lui souhaite bonne chance.
la bonne blague
Ce 100ème commentaire sera le dernier.
Je crois que je vais continuer cet exercice ailleurs parce que j'apprécie l'anonymat tout en savourant le risque d'être découvert.
le cheap thrill
Bon, selon Rainette qui ne faisait pas partie du paysage lorsque j'ai publié ce billet, il y a de la compétition pour le nombre de commentaires par l'auteur même d'un billet.
Le défi sera relevé avec brio, puisque généralement ce que je fais je le fais avec brio.
le brio chinotto
Dans ce désert immense, il me faut avouer mon désarroi devant mon espérance de vie. Selon les statistiques, je devrais mourir à l'âge canonique de 67 ans ce qui me laisse quand même 5 ans pour partager ma folie avec vous et surtout aider mes proches à surmonter cette épreuve.
l'approche de la mort
J'avais pourtant dit que le 100ème serait le dernier. Peut-être parce que j'aime les chiffres ronds.
Mais 100 n'est pas un chiffre rond, c'est un carré.
le dix par dix
Autre changement de cap : lors de mon premier commentaire, je disais que les vôtres seraient acceptés.
Mais, maintenant, je préfèrerais gardes l'exclusivité.
le non merci
Mais sur cela non plus, je n'ai pas le contrôle.
la panique totale
Il m'arrive de n'avoir strictement rien à dire mais de vouloir m'exprimer quand même.
l'instant de panique
Étant atteint d'un maladie à issue fatale, je suis fatalement malade.
le pas bien
J'ai le droit d'avoir pitié, alors je le fais.
le grand coeur
Contempler l'abysse de la folie d'autrui me rend hautement inconfortable.
la famille de fous
J'ai trouvé au moins une faute de frappe dans les 109 premiers commentaires.
le champion de l'orthographe
Pour en revenir à Pierrot le fou, je le comprends. La réalité est parfois beaucoup moins supportable que le délire. Le problème, c'est de faire des dommages collatéraux inestimables.
D'autant plus dommage que la victime de ces dommages est ma maternelle.
Faire souffrir sa mère pour réduire sa propre douleur ne m'apparait pas une solution acceptable.
la mama dolorosa
Faire porter à un autre le poids de ses propres erreurs, c'est le propre des faibles.
la grandeur d'âme
Juste pour briser la routine mais c'est quand même moi.
le neurone ectopique
C'est puéril mais je voulais aussi être le premier à supprimer un commentaire.
la série se poursuit
J'en reviens à Pierrot le fou.
Je n'en reviens pas : c'est fou ce qu'une phrase de trop peut avoir comme conséquences.
l'esprit de vengeance
Quand le coup vient de ton dos, il n'y a aucun moyen de le voir venir.
la douleur de l'inattendu
Ce qu'il y a de bien dans le fait d'avoir une lectrice assidue, c'est un peu l'espoir d'un jour en avoir deux.
l'éternel optimiste
P.S. Un cas flagrant de fausse représentation
Finalement non.
J'avais prévu me faire de l'auto-publicité sur Facebook mais je ne tiens plus vraiment à partager cette (parfois trop) grande intimité avec le commun des mortels.
le jardin secret
Un des avantages du patient en fin de vie c'est que même s'il peut anticiper les larmes de ceux qu'il laisse, il ne peut en être témoin.
le grand départ
Journée d'examens à l'hôpital aujourd'hui.
Verdict avec l'oncologue la semaine prochaine.
Rien de bon à l'horizon.
la sensation de chute
Je sens bien que mes forces me quittent mais je ne me sens pas encore la force de quitter.
s'accrocher à la vie
Finalement, l'idée de mourir bientôt ne m'enchante pas tant que ça.
le dernier souffle
Ce qu'il y a de plus bizarre c'est que mon sang, comprendre mon hémoglobine, revient à un niveau normal.
Ce qui semble une bonne nouvelle traduit en fait l'épuisement de ma moelle osseuse.
On voit poindre à l'horizon, l'aube où il me faudra des transfusions pour rester vivant, encore un peu.
Avoir deux enfants aux études, dont un encore au CEGEP nuit quelque peu à ma sérénité.
Ma grande chance, si on peut dire, c'est qu'à moins qu'un autre cancer se pointe, ma maladie ne cause pas de douleur.
l'angoisse parentale
Ce n'est pas la perspective de mourir qui m'effraie ou qui me fait pleurer.
Comme bien des gens, il me plait de penser que j'ai eu une vie complète.
Mais d'infliger, contre ma volonté, de la douleur à mes proches et à ceux qui m'aiment m'est difficile à supporter.
Je sais bien que je n'ai pas le choix. Je ne meurs quand même pas par plaisir ou par lâcheté.
Il n'y a en fait qu'une seule option, continuer de vivre en étant moi-même, debout jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher, digne jusqu'au dernier souffle.
Je n'ai pas à leur prouver que je les aime, s'il devait ne pas le savoir, j'aurais raté ma vie, et j'aime mieux ne pas le savoir.
celui qui se prend pour un BPP (un bon petit papa)
Une nouvelle hypothèse dans ma tête.
L'évolution de ma condition pourrait être dûe à une leucémie.
le nuage gris
Ce soir, je le jure, je préférais être mort.
la valeur du sursis
Retour à la case départ :
scénario pessimiste : 2 ans
scénario réaliste : 5 ans
scénario optimiste : 10 ans
la triste réalité
Je suis pour le moins dans un état psychologique labile actuellement.
Oscillations entre tristesse face à la mort et euphorie face à la vie.
Je suis moins tolérant face à la médiocrité de certains et plus fier de mon excellence au travail.
J'aurais voulu être un meilleur père mais j'ai fait tellement mieux que le mien.
Bref, entre larmes et fou rire, rien ne va plus.
la saison morte
Je suis vraiment content d'avoir cet endroit où venir me plaindre.
Je me souviens que Suzanne m'a dit qu'elle voulait lécher ses plaies en toute intimité.
Je ressens aujourd'hui la même chose.
S'il y a une chose que j'aimerais avoir si je devais être condamné à la vie éternelle, c'est la Suzanne de mes 17 ans.
le dernier amant romantique
Je ne comprends pas que Rainette connaissant l'existence de ce sanctuaire, je n'aie pas encore été découvert.
l'Amérique
Trudeau : j'ai osé espéré qu'il n'y en aurait juste un.
le parc Forillon.
Plusieurs d'entre nous espèrent laisser une trace de leur passage au sein de l'humanité.
C'est aujourd'hui que j'ai eu l'idée qui pourrait me survivre.
Si je ne me trompe nous en sommes rendus au 27 octobre 2012.
le dernier rêve
Tempus fugit.
Il y aura bientôt quatre ans que j'enregistre des commentaires sur ce billet qui n'existe même pas.
le neurone ectopique
Bobo bocou !
le petit soir ordinaire
Je rencontre un médecin mardi.
Si la douleur ne diminue pas, moi je m'éteins.
la flamme vascillante
Depuis qu'on a changé l'heure, je ne me sens plus le même.
le cadran de la montre
P.S. Un hommage subtil à Jean Ferrat
Dois-je vous l'emballer ?
le titre de ce billet
On creuse mon sous-sol à la recherche de pétrole.
le mauvais sort
Pour mon anniversaire, je m'offre ce commentaire qui porte le numéro que les hommes détestent le plus.
140
C'est la première fois que je me demande sérieusement si cet anniversaire ne sera pas le dernier.
la relâche de l'optimisme
Je sais bien que ma maladie progresse au même rythme où mon espérance de vie régresse. En conséquence, chaque visite chez l'oncologue m'angoisse plus que la précédente.
le pauvre petit malade
Tout va très bien.
Nouvelle augmentation de ma chimiothérapie.
La bonne nouvelle c'est qu'il est probable qu'on ne puisse pas l'augmenter davantage.
La mauvaise c'est que cela implique la reprise des saignées.
Que je déteste au cube.
l'agneau pascal
Il y a quelques heures, je me plaignais de mon sort.
Je reviens de l'hôpital où ma mère vient d'être admise.
Cancer fulminant.
Curieusement, on lui offrait la même chimiothérapie que celle que je prends.
Mais pas pour elle.
Elle accepte de mourir malgré sa démence qui perturbe son jugement.
Elle va mourir comme la brave mère qu'elle a toujours été.
Elle semble alitée mais elle est debout.
le bon fils
Il m'arrive de bien écrire.
la faute d'orthographe
Partir en voyage ne peut se faire sans amener avec soi tous les problèmes que l'on a dans la tête.
le cerveau larmoyant
Juste parce que c'est Noël aujourd'hui.
Joyeux Noël 2012 !
Ça ne passe pas.
La mort de ma mère, c'est de la petite bière (d'accord, le jeu de mots est mauvais, mais qui le lira ?) à côté du traumatisme subi par ma fille.
Et elle sera confrontée à l'armée de trous de cul de la CSST qui ne pense qu'à réduire les frais à leur strict minimum. Des fonctionnaires parfumés à l'essence de fonctionnaire.
Que ma fille ait eu trois revolvers pointés sur la tête, ils s'en contresaintciboirisent au cube.
Ils n'ont qu'une question qui les préoccupe : et vous retournez travailler quand ?
le jamais de la vie
Je suis désolé. Le même commentaire a été publié quatre fois et effacé trois fois. Le nombre de commentaires sur ce billet admirable n'a donc plus la moindre crédibilité.
la désolation sincère
Si on ne tient pas compte des mensonges par omission on peut PRESQUE dire que je ne mens jamais.
la stricte vérité
Je n'utilise pas le même ordinateur, ce qui explique ma bourde de tout à l'heure.
les trois commentaires effacés
Il est plutôt question de commentaires supprimés.
la grande désolation
Je me dis que forcément quelqu'un doit avoir trouvé ce sanctuaire profane et qu'il (ou plus probablement qu'elle) a su se faire discret pour ne pas troubler ma quiétude.
l'espoir immense
Et quiconque découvrira ce lieu, apprendra avec consternation que je fais partie des victimes de Georges Sarrazin.
Il était responsable de la discipline au collège Notre-Dame où j'ai étudié de 1963 à 1969 et où j'ai été pensionnaire pendant cinq ans.
Il ne m'a pas agressé sexuellement. Il m'a simplement fait venir à son bureau, un soir, après l'étude. Il a pris un malin plaisir à m'accuser de m'être masturbé pendant l'étude. À l'époque, la masturbation ne faisait pas partie de ma vie, même pas à l'état de projet.
Je m'en suis sorti en lui disant qu'il avait dû se méprendre et qu'à la rigueur il avait pu me surprendre en train de me gratter. Mais je ne peux m'empêcher de penser qu'il faisait ses premières armes et qu'il allait progressivement devenir plus incisif envers les étudiants et finir par en sodomiser (au moins) un (les autres étant potentiellement trop honteux pour se manifester).
le bon petit gars
Une année de merde vient de se terminer. Une autre année de merde vient de débuter. Je ne pense même pas la finir.
y'a d'la joie
Plus de deux semaines depuis la mort de maman et je pleure encore. Vous croyez que je la pleure ou y a-t-il quelqu'autre blessure profonde ?
la bonne réponse : les deux
Mon mot pour les funérailles est enfin prêt mais moi je ne le suis pas. Vous croyez que cela me gênerait de pleurer devant le monde ? Pas devant ce monde-là !
les yeux secs
Je m'en vais aux funérailles de maman. Ce n'est pas un....
cadeau
Je n'ai pas réussi à livrer mon message sans pleurer.
Une chance que je ne livrais pas de la pizza.
la misère du monde
Un jour, je le sais par expérience, je pourrai penser à elle sans pleurer.
le pas tout de suite
Quoiqu'il advienne, j'aurai eu une vie pleine.
Les catastrophes qui s'accumulent dans ma vie n'y changent rien.
Même si j'ai parfois l'impression d'avoir trop vécu, que la cour est trop pleine, que mes valises sont prêtes et que je m'impatiente de ne pas partir encore.
Pourtant, je devine bien que quand ma maladie m'amènera à la frontière, ma hâte de partir sera moindre, peut-être nulle.
Je me dis que c'est surtout parce que je vais faire de la peine à ceux que j'aime. Et c'est ma fille que je vois pleurer qui me bouleverse le plus. Même si je sais qu'elle ne sera pas la seule à pleurer, même si je sais qu'elle n'est pas la plus vulnérable.
Les liens entre père et fille ont se petit caractère particulier que j'apprécie de plus en plus.
le pas pour longtemps
P.S. la peine immense que j'ai ressentie à la mort de maman est venu creuser davantage le sillon de mes préoccupations pour ceux, qu'inévitablement, je blesserai en partant.
C'est la première fois depuis la mort de maman que je pleure pour autre chose que la mort de maman.
Je suis loin d'être un pleurnichard.
Mais fiston a fait une gaffe. Une très grosse gaffe qui aurait pu déterminer une fois pour toutes son avenir.
Il s'en est sorti.
le coup de chance
Parfois, trop c'est trop.
trop
Je me sens mieux, enfin un peu, j'avais l'impression d'avoir triché en ayant autant de commentaires effacés. Je n'en ai gardé qu'un, par principe.
le petit soulagement
C'est niaiseux mais ça me fait du bien d'avoir un peu de baume sur les plaies de la journée.
l'écorché vif
Dans mon jardin, ce soir, ne poussent que des orties.
la rue Hortie
Je n'aime pas être contredit.
le contrat de diction
J'ai besoin d'un court séjour sur mon île déserte.
Deux augmentations de ma chimiothérapie au cours des deux derniers mois. Prochain contrôle dans deux jours. Un peu d'effervescence anxieuse du côté des dendrites. L'axone est prêt à tout.
La nouvelle se répand dans mon entourage. Le neurone se prépare à sa version personnalisée d'Hercule Poirot quitte la scène.
le fauteuil roulant
Une grande tristesse dans l'âme.
le géant Beaupré
C'est probablement la première fois que je m'associe à un géant mais jusqu'à ce jour je me suis toujours méfié des gens qui m'ont dit ne pas avoir d'ego comme j'imagine qu'ils doivent se méfier de moi quand je leur réplique que je suis fier de mon humilité.
l'esprit de contradiction
30% c'est la probabilité que je développe un deuxième cancer avant que le premier ne m'emporte.
la loterie de la vie
Quand un européen vous appelle "cher ami", ça ne veut pas dire grand chose.
l'amitié sincère
C'est peut-être ma dernière journée de travail mais je n'y crois pas.
Il me semble que ce n'est pas possible.
et pourtant
Parfois, le silence irrite les yeux.
l'alarme séchée
Un congé de maladie, ce n'est pas...
le titre de ce billet
P.S. On a tendance à l'oublier mais à l'origine, ce bal a débuté par un billet aigre-doux à dominante aigre.
Douleur 1
Sommeil 0
la triste défaite
Frustration reliée au sexisme ?
Mon amie Marie ira passer des tests cette semaine.
Elle est peut-être victime d'une récidive de son cancer du sein.
Elle est entourée d'attention de tous ses proches, dont ma douce.
Pourtant, j'ai un cancer dont je n'ai AUCUNE chance de me sortir, du moins, pas vivant.
Et j'ai l'impression que je dérange quand je dis que je suis fatigué.
J'aurais peut-être dû avoir des seins, moi qui n'ai jamais souhaité être une femme sauf pour vivre l'expérience féminine de l'orgasme.
la rage qui pleure
En cas d'eau, relevez vos jupes.
les soeurs du bon conseil
Et il y a ces soirs de désespoir où il n'y a que moi.
le désespoir
Je veux bien croire qu'on meurt toujours seul, mais j'aimerais bien qu'il y ait une main dans la mienne pendant mon agonie.
le plaisir solitaire
On ne peut pas reprocher à l'aveugle de ne pas voir clair.
le borgne
C'est fou ce que je manque de soutien.
les glandes de ma mère
Mon heure de gloire en résolution d'énigmes :
PPPL vs PNNN
ou
PPL vs PLN
Je sais bien que cela ne vous dit rien mais pour épater Lurch, ça prend tout un exploit.
le fier de lui
Il vient un temps où le silence exprime mieux que les mots le poids des mots.
le moment de silence
Une publicité à la télévision : durant le traitement contre le cancer, on a besoin de soutien au quotidien.
then why do I feel so all alone !
Dans le fond du baril, il y a la lie.
Dans le fond de ma vie, il y a Denis.
le comble du ridicule
Un mélange potentiellement fatal.
Les résultats de mes dernières prises de sang ont une apparence de bonheur.
Mon hémoglobine et mon hématocrite ont atteint des niveaux on ne peut plus raisonnables.
Maudite bonne nouvelle.
Mais les leucocytes ont aussi baissé. Rien de critique, juste un peu sous la limite de la normale.
Le problème, c'est que cela signifie que ma moëlle osseuse est possiblement en train de dire : "j'en ai assez", phase préliminaire à : "ça vient de s'éteindre".
Rien de trop inquiétant pour moi. C'est pour vous que je me fais du souci. Comment réagirez-vous à la perte de votre neurone ?
l'essence ciel
Après un arrêt de mort, est-ce que tu es encore mort quand même ?
l'agonie (ou l'absence de gun)
Les campagnes anti-tabagisme ont eu un effet déplorable sur la fréquence des pipes.
la sécheresse du tabac
Je sais et j'assume, c'est chez moi une fixation.
Mais les gens qui ont encore des décorations de Noël allumées me donnent le goût de démolir des décorations de Noël.
la veille de Pâques
Je dois lever mon chapeau à Jean Philippe Laffitte qui est, de loin, le principal intervenant sur le merveilleux site de Kayou Lepage : le jour des vidanges.
Il arrive à publier des dizaines de commentaires sur le moindre billet.
L'avant-dernier en a reçu 195.
Je sais, il a fréquemment recours à des références sur YouTube mais, à chaque fois, il y met son grain de sel.
Je n'arrive pas à imaginer où il trouve le temps d'être aussi prolifique ni même comment il est arrivé à découvrir ce site qui, avec tout mon respect amplement mérité, n'est quand même pas si fréquenté, surtout pas de l'autre côté de l'Atlantique.
l'éberlué
Quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi je pleure ?
la larme à l'oeil
"Maintenant que j'ai commencé, je ne suis plus certain de pouvoir m'arrêter."
C'était le troisième de cette interminable liste de commentaires.
le prophète en son pays
Si ce soir je pleure, je ne trouve pas la moindre consolation dans le fait que je sais que je ne suis pas le seul à pleurer, et que d'autres ont de bien meilleures raisons de le faire que les miennes.
les miettes de larmes
Si vous saviez ma douleur, peut-être sauriez-vous aussi mon nom.
l'âne au nime
La liberté de ce lieu sera mon dernier refuge.
l'approche de la mort
Pour la première fois, j'ai supprimé un commentaire offensant.
Pas sur ce billet, heureusement.
La méchanceté est inutile.
Si vous souffrez vous pouvez partager votre douleur sans l'infliger aux autres.
Que quelqu'un qui ne me connait pas me souhaite du mal m'étonne et me fait mal.
Jean Philippe Laffitte, je veux bien te pardonner mais je ne peux pas te comprendre.
la chèvre de monsieur Séguin
J'ai des problèmes de placement.
le vieux débris
Et je ne me cache même pas.
le coucou
Deux cents (200) !
Comment y croire ?
la tour d'ivoire
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