aucun son
aucun sourire
aucun geste
aucune caresse
ne peut séparer la terre des eaux
et la lame envoûte la brise
comme si l'unité était chose faite
une musique arrivée de sourdine
traînant quelqu'accent étranger
fausse note de castagnettes
les coups pleuvent
minuit est pareil à midi
qu'importe la majesté des voiles
et les contrées qui les habitent
le capitaine écume ses nuits blanches
et les poissons ont des visages de femme
malgré les étranges reflets de la lune sur la vie
Heureux sans le savoir
Il y a 5 jours
3 commentaires:
Rainette soulignait cette habitude que je partage avec Lurch de commenter mes billets.
La plupart de ces commentaires sont des post-scriptum.
Celui-ci pour dire qu'en toute honnêteté, il s'agit d'un extrait du poème original : j'ai supprimé une partie qui n'est plus en harmonie avec la palette de mes émotions.
Et pour ajouter qu'il s'agit du premier d'au moins mille billets et commentaires que je ne signe pas d'un "pseudonyme".
l'identité cachée
Elle roule la perle et les fleurs de corail
elle rit sur le dos des dauphins
elle dort au soleil comme un volcan défunt
Normal que les pêcheurs la "prennent" pour une femme
La mer
(grenouille d'étang qui se perdrait dans une telle étendue d'eau. Et salée en plus....)
T'habites à V....peut-être même à l'I......
Le net n'a plus de secrets pour moi. Grâce à toi.
De la même façon tu pouvais savoir d'où je venais mon snoro.
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