vendredi, novembre 28, 2008

Étincelle

D'abord un gros bonjour à Mij qui est venue poser son regard allumé sur mon univers débile.
Ta poésie me manque ma belle.

Et un mot sur notre merveilleux univers non moins débile de politique nationale.
Sans discourir sur les plausibles stratégies de corridor impliquées, je dois reconnaître que l'espace d'une étincelle (le cliché : "l'espace d'un instant" est celui qu'il me semble rencontrer le plus souvent dans la littérature, même dans celle des plus grands : je veux bien croire que le concept espace-temps fait son chemin, mais boy, gimmi a break) et le temps d'un rot (de gigot à l'ail; l'odeur persiste plus longtemps qu'après un Big Mac) la politique nationale soulève d'un micron mon intérêt.
Qu'arrivera-t-il à notre gouvernement lundi prochain. Le mystère est épais (tout à fait dans l'ordre des choses en politique). La réponse au téléjournal du 1er décembre à 18h00.

Le temps d'attente (19 heures plus tard dans les salles d'urgence)

P.S. Désolé pour les quelques étrangers qui s'égarent en ces lieux peu hospitaliers, avec un salut spécial au moscovite qui y est venu récemment, mais ce billet a définitivement une saveur locale (d'osso bucco).

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