lundi, mai 31, 2010

Fringale

J'ai une soudaine et irrépressible envie de carrés aux Rice Crispies.
Veuillez donc m'en faire parvenir de toute urgence par courriel recommandé à mon adresse habituelle.
Tout surplus sera dirigé vers les populations affamées du tiers monde.
Et, s'il vous plait, ne pas m'affliger de ces décorations pour enfants à la mors moi le neutron ou de noix de coco à la gomme.

la reconnaissance gastrique

P.S. Si je meurs de faim ne venez pas me blâmer de ne plus vous divertir !

Petit poème en anglais

Un genre de préparation au mariage pour mon frère qui s'engagera de nouveau sur ce sentier au cours des prochains mois.
Parce que son ex deviendra encore plus profondément son ex et comme elle est anglophone :

Shit happens
So there you were

the thick layer

P.S. C'est pas gentil mais c'est bien senti. En fait, si je me concentre ça sent jusqu'ici

Au point où j'en suis

Je ne me demande plus qu'est-ce que je pourrais dire de plus mais qu'est-ce que j'aurais dû dire de moins.

l'éloge du silence

P.S. Prépare sournoisement mon prochain billet à paraître dans les prochaines secondes

Rigoureusement authentique

Je suis assez réticent à parler de mon vrai moi mais l'anecdote me semble assez amusante pour la partager avec vous.
Les voisins du neurone (zut ! je risque d'être démasqué et perdre ma précieuse réputation dans mon quartier) ont pu m'admirer sous toutes mes coutures (je portais ma robe de chambre sans dessus-dessous et sans dessous dessous) alors qu'alerté par une forte odeur de fumée je me suis rendu, peu avant 3H00 AM, jusqu'au coin de la rue pour en identifier la source.
Je me suis finalement éveillé pour me dire qu'il s'agissait probablement de la fumée des feux de forêt qui venait faire une virée en ville.

la volonté du pompier

C'est la fin...

...du mois de mai.

l'agonie d'un printemps

dimanche, mai 30, 2010

Distinction

Un chien peut demander la porte
Un homme peut la prendre.

la clé des champs

Évidemment

Après ça on viendra se plaindre que les femmes sont frigides.

la cerise sur le sunday

Potinage

Comme ça Céline attend des jumeaux.
J'peux-tu vous dire que les jumeaux ne s'attendent pas à Céline.


le papa rassis

P.S. Je ne suis pas un fan, je sais qu'elle est superstitieuse, mais je lui souhaite quand même bonne chance (j'avais 42 ans quand ma mignonne est née : pour une femme, ça porte plus à conséquence)

L'hommerie du jour

La bêtise humaine atteint parfois des proportions qui dépassent l'entendement :
la connerie congénitale

le vieux mégot

Nouvelle technologie

Maintenant disponible : éjaculation assistée par laser.
Disponible en trois catégories :
- j'vous remplis ça une chaudière moi madame
- j'm'en lave les mains
et il vous reste-tu un timbre à coller ?

Recharges disponibles.

la poursuite du progrès

Interdit aux catholiques

Quelque part, ailleurs, dans le ciel, il y a environ 15 milliards d'années.

AH Non ! Mon petit Kris, t'es encore allé jouer dans le labo de ton père. Pis, t'as encore créé un autre univers complètement fucké. Ben, ce coup-ci tu te débrouilleras avec et viens pas te plaindre si ton père te crucifie quand il va rentrer.

le dernier évangéliste

question aux gens de science

Azote : 78.08 %
Oxygène : 20.95 %
Argon : 0.93 %
le reste : des pinottes

Ai-je l'air normal ?

la ventilation du fond

Le croiriez-vous ?

Parfois, je n'ose pas.

la peur de la médiocrité

Dans le cabinet Bourassa (un morceau de notre histoire)

J'ai été privé de sortie par Laporte.

un fonctionnaire frustré

samedi, mai 29, 2010

Contraception

Une méthode désuète.

j'martyr

Injustice notoire

Avec tout mon talent de même que ma contribution exceptionnelle et intelligente à la blogosphère j'aurais déjà dû recevoir au moins une douzaine de doctorats honorifiques.

le sous-titré

l'esprit sportif

Je ne suis pas un expert en sports mais j'espère que les Canadiens vont repêcher ce gars-là. Je ne sais pas son nom exact mais il fait parler de lui à chaque partie en s'illustrant par la quantité de ses tirs au but : encore un tir de Lalign Bleu.

le gérant d'estrade

P.S. Avec mes excuses à Eldiablominouchka qui n'aime pas le hockey

proverbe bizarre

Ce n'est pas parce qu'on est parti pour
Qu'on arrive contre

strictement anonyme

Des chiffres et des lettres (anglaises)

Première option : les chiffres
si n + x = x - 1 alors n = - 1
Deuxième option : les lettres (anglaises)
si x + one = 0 then x = n

le midi à quatorze heures

En réponse à : le barbare érudit

R.I.P.

Dennis Hopper est décédé aujourd'hui.
Il sera désormais connu sous le nom de Dennis Hopuper.

Easy Rider

Incompréhension

Parfois, j'ai l'impression qu'on ne me comprend pas.

la mécanique quantique

vendredi, mai 28, 2010

l'extinction des feux

Votre neurone unique (il en est un) s'absente quelques heures, quelques jours ou un ou deux millénaires.

la quiétude de l'attente

Parution prochaine

De mon nouveau chef-d'oeuvre : Vinaigre blanc d'Amérique.

Vallier Paul

Publicité BP

Je ne vous dis pas par quelle fuite l'information m'est parvenue (je protège mes sources) mais le nouveau slogan de cette pétrolière est :
" BP, ça vous en bouche un trou ! "

la pollution continue

Annuaire

Je voudrais me faire fromager la tête. Quelqu'un connait une bonne adresse ?

le p'tit creton

Chiffres à l'appui

Bonne Fête !
Ce blogue en est à sa 1320ème journée d'existence et vous voudriez que je passe cela sous silence ?
Des 530 billets publiés à ce jour, plus du quart l'ont été au cours du dernier mois : pouvez-vous m'expliquer ça ?
Et la cerise sur le sunday : je suis plus vieux que mon blogue ayant dépassé le cap des 22,000 jours depuis plus de deux mois.

l'an s'être

Dure réalité

Les voies du seigneur sont impénétrables.
C'est ainsi que plein de petits gars ont réalisé qu'ils n'étaient pas des voies du seigneur.

l'oeil de bronze

Question physiologique

C'est quoi ça un pet sacoche ?

la trace de brake

Photo dégueulasse du jour

Julio Aparicio

C'est ce que les français appellent en prendre plein la gueule (d'où le titre, je vous fais remarquer).
Avec mes plus plates excuses car à mon avis de telles photos ne devraient jamais être publiées, encore moins rediffusées par un neurone amoindri.
Je fais une overdose, j'ai encore dépassé mes trois lignes.

l'acte de contrition

jeudi, mai 27, 2010

Des gains et des pertes

Je crois avoir déjà mentionné que la terre n'est pas assez épaisse pour camoufler ma médiocrité en informatique. Même ma chienne, par ailleurs si gentille, rit de moi quand je m'approche de l'ordi. J'ai quand même mis à jour ma version de Blogger pour gagner un blogroll mais perdre cette magnifique caricature de mon si tendre visage qui faisait tant pour l'épanouissement de ces dames.
Bref, on se calme les nerfs (ce en quoi j'ai une grande expertise) et on downloade une photo de Jean Chrétien (de face, de préférence).

le bilan provisoire

Du bonbon

Encore ! Encore !
C'est ce que les friands disent.

la touche sucrée

Contraventions

Les billets s'accumulent.
Est-ce que je vais trop vite ?

le temps qui passe

Histoire de chasse

J'ai pris mon élan.

le sodomite nécrophile

Entendu chez mon dentiste

J'aime jouer dentaire.

Est là qu'a rit

Humidité excessive

J'arrête pas de pleurer.

la fosse à larmes

Scène de la vie conjugale

Éteins la lumière, ça m'allume !

la zone érogène

Épanchements

Suite au plus récent (je ne vais quand même pas écrire dernier) commentaire de Drew, je tiens à rassurer mon sélect lectorat sur le fait que je suis bien conscient que le succès inespéré, mais tellement mérité (Martin Matte sors de ce corps !) que je rencontre est essentiellement dû aux plus brefs de mes messages. Néanmoins, malgré mon statut anatomique qui fait de moi un être essentiellement nerveux (un neurone) je dispose de voies biliaires multi-étagées ce qui provoque inévitablement des épanchements bilieux qui nécessitent beaucoup plus que les trois lignes qui expliquent ma gloire (attendez, vous n'avez rien vu, j'ai programmé une célébrité posthume que je savoure par anticipation parce que je serai décomposé lorsqu'elle surviendra).
Bref, je serai bref, mais pas toujours. Bref, je ne serai pas toujours bref. Bref, je ne serai pas toujours.

le verbe intoxiqué

mercredi, mai 26, 2010

Confusion

Les mots se glissent dans ma conscience pour former des suites dont je n'ai pas la moindre idée. Des phrases me montent à la tête, vides de sens. Il me semble que ce serait plus facile si j'arrivais à devenir fou, mais ce n'est pas aussi facile qu'on le pense et, justement, mes pensées me dépassent.

le 400 mètres haies

P.S. Ça va, j'ai compris, je me tais.

richesse extrême

J'ai maintenant ma banque privée.

un petit cochon

P.S. Un coup dur et je récupère mes sous.

mon blogue est un long fleuve tranquille

Les niveaux de plusieurs cours d'eau du Québec sont anormalement bas. (toujours dans cyberpresse)
Voilà ce qui explique ceci.

la déshydratation du corps cellulaire

mardi, mai 25, 2010

Vaut mieux avoir...

...un grain de folie qu'une graine de fofolle.

le bien placé

l'autoroute c'est ...

...une bonne place pour écrire des billets.

la police provinciale

Joke niaiseuse non numérotée

Ce serait quand même triste de partir sur un coup de tête.

le taureau qui manque d'aspirine

Joke de nerf # 3

Je m'en vais dehors me faire griller le neurone.

l'espoir d'un retour

P.S. Une journée sans P.S. c'est comme une journée sans moi (i.e. je ne sais pas ce que c'est)

Joke de nerf # 2

Si j'étais une fille au lieu des dendrites est-ce que j'aurais des dendrettes ?

en attente d'une réponse (lire Joke de nerf # 1 ou faites-vous greffer une mémoire (8 Gig minimum))

Joke de nerf # 1

Excusez moi de vous mettre en attente mais mon axe sonne.

les conséquences de l'anatomie

Extraordinaire

Je dois modestement l'admettre, je me démarque du commun des mortels. Avez-vous déjà entendu parler d'un neurone qui fait une entérite ?

l'envie de chier

Météo

Je devais rentrer travailler
Je suis resté chez moi

l'air frais

La grande faucheuse

Que font les sourds quand sonne l'heure de leur mort ?

le vert glas

L’optimisme du paresseux

Aujourd’hui, je mets un bas.
Demain, si je ne suis pas trop fatigué, je mettrai l’autre.
Et si je suis épuisé, je me ferai mettre le bas par quelqu’un d’autre.

Carpe diem

les plaisirs du sexe

On dort mieux après l'orgasme que pendant la baise.

le passif

le petit cachotier

Pour ne pas vous inquiéter, je n'ai pas mentionné que j'ai profité de cette longue fin de semaine pour me faire, de nouveau, opérer.
Je vous rassure tout de suite, ma seizième réduction pénienne a été un succès total même si ma douce n'a pu attendre que j'aie quitté la salle de réveil pour consommer mon nouveau trait d'union.
Elle a été ravie de pouvoir m'accueillir complètement sans se faire bousculer le diaphragme et devoir être à jeun pour ne pas subir les régurgitations qui troublaient jusque-là nos coïts même les plus prudents. Bref, même si comme toujours mes performances se terminent par une débandade, elle a pu jouir des plaisirs de mon nouvel organe dans la rigolade et la régalade.

le bonheur total

lundi, mai 24, 2010

Faux billet

J'ai simplement le goût de partager avec vous tous (bon, je sais, vous n'êtes pas très nombreux mais je me réjouis à l'idée de vous savoir plus de deux) un extrait de mon dernier courriel à Lurch.
Comme ceux qui connaissent ce monstre sacré (Lurch lui est un sacré monstre) l'ont probablement déjà compris, je suis fortement influencé par l'immortel San-Antonio, dont l'auteur Frédéric Dard, nous a malheureusement démontré sa mortalité.
J'écrivais donc à Lurch : ne pas l'avoir rencontré sera une des grandes déceptions de ma vie ce qui est moins pire que de l'avoir rencontré et que cela ait été une des grandes déceptions de ma vie.

la mémoire du lecteur

Non, mais dis-donc.

C'est quoi cette idée de venir chez les gens pendant leur absence ?

le verrou sur la porte

jeudi, mai 20, 2010

Bye Bye mes cowboys

Cette fois, c'est vrai.
Le neurone tire sa révérence.
Dans le plus optimiste des scénarios, je pourrais vous revenir mardi prochain.
Je ne sais pas comment vous allez faire pour supporter cette interminable absence. Comme je vous plains.
Comme je comprends votre anxiété quand vous vous demanderez :
et s'il ne revenait pas ?
et s'il se faisait frapper par un vélo ?
et s'il perdait son sens de l'humour pour nous faire suer avec ses propos insipides sur l'euthanasie et autres sérosités sérieuses ?
Alors, inquiétez vous en paix, je m'en vais vivre ma vie.

votre neurone adoré

mercredi, mai 19, 2010

Le grand gagnant

Gagner un concours, ça n'a pas de prix.
J'ai gagné un concours, il n'y avait pas de prix.

le mal prix

P.S. Je vous l'avais bien dit qu'il ne serait pas meilleur que les autres. Allez on continuera plus tard.

Dernière heure

Le nouveau projet de loi sur l'avortement vient d'avorter.

le produit de conception

P.S. le prochain billet sera le 500ème mais ne sera pas meilleur que les autres

Dans la (nouvelle) série alldressed pas d'oignons

Je vous sens déjà jubiler à vous faire déchanter.
Donc dans cette toute nouvelle série je vous avise que : c'est pas parce que qu'à cause de.

s'tu clair ?

P.S. ceux qui venaient ici pour chercher à prendre leur pied repartiront avec un vers de huit pieds. C'est pas merveilleux ça ? Du huit pour un, ça ne se trouve pas n'importe où.
P.P.S. Et ça justifie, si besoin était, le titre de ce blogue.
P.P.P.S Si je veux écrire blogue blogue au lieu de blogue blog qui sonne trop anglophone à mes yeux, s'tu grave ?

Parabole hyperbolique

Si on récolte ce que l'on a semé, je me demande bien ce qui m'attends.

le bout du champ

En parlant de faire des liens

Peut-on en établir un entre combustion spontanée et éjaculation nocturne ?

attachez-le quelqu'un

P.S. En espérant ne pas trop choquer soeur Clarisse

La Place du faux-cul

C'est ainsi qu'on me surnomme dans certaines chaumières françaises par les temps qui courent.

le faux jeton

P.S. Pour ces fameux cousins, permettez moi d'ajouter : c'est puéril, je le sais, but i still enjoy it !
P.P.S. bref, le faux-cul prend son jeton

le tricheur

Votre neurone doit bien se confesser. L'affluence inhabituelle sur ce blogue vient du fameux billet intitulé : "Sexe, orgasme, fellation, clitoris, érection, masturbation".
Encore la nuit dernière, sept visiteurs consécutifs étaient à la recherche d'un clitoris sur Google. Les grands honneurs reviennent encore aux français, six de ces sept visiteurs provenant de ce pays.
Je suis bien conscient du rôle délétère de ce blogue sur nos relations avec le reste du monde mais que voulez-vous (citation de Jean Chrétien) je fais passer mon petit plaisir coupable avant l'intérêt supérieur de mon pays. Pire encore, je suis bien conscient qu'en écrivant ce billet, je commets une nouvelle infraction.
Je devrais peut-être rediriger mes victimes vers des sites plus piquants mais que voulez-vous (idem) je n'ai jamais été très fort pour créer des liens.

le sentiment atroce

La vérité crue

Selon ma douce, l'homme à tout faire que nous avons engagé est vraiment un homme à tout faire.

le cas cul (s'écrit aussi : KQ)

Un dernier p'tit coup avant de partir

Le vin blanc me fait rougir.
Le vin rouge me fait pâlir.

Le grand vert

Espace pâle

Où est-il mon neurone ?

le lit vide

Boom !

Je suis complètement sauté.

le champignon atomique

Il est grand temps

C'est décidé, je vais demander de l'aide.

le psy du neurone

Consolation

Au moins, il écrit en silence.

les voix du seigneur

Prévision

Si la tendance se maintient le Canadien perdra son prochain match 1½ à 0.

la suite dans les idées

Réponse au barbare érudit

Dans son récent billet, intitulé "deux sujets", le barbare critique ceux qui questionnent la pertinence de leur blogue.
Dans un premier temps, je ne me suis pas senti concerné, mon blogue n'ayant pas la moindre apparence de pertinence malgré son fondement plutôt bien assis.
Puis j'ai poussé la question un peu plus loin et j'ai trouvé les réponses en lisant "L'autobiographie en stéréo" de Mozart.

les cinq phonies

Corollaire

J'ai pris une cuite.
L'auriez-vous cru ?

le cul de la bouteille

Excès

J'ai pris un coup de barreau.

la vodka du diable

mardi, mai 18, 2010

Malédictions

Maudit ordi, dit le neurone.
Maudit neurone, dit l'ordi.

la partie de nuls

Personnel et confidentiel

Ce billet ne s'adresse pas à vous, alors veuillez aller attendre le prochain.
Merci.
Ma douce me demande toujours où je prends tout ça et ma réponse est toujours la même : dans ma culotte.
Vous voyez bien que ça ne vous concerne pas gang d'indiscrets.

l'injustice du partage

Dura lex sed lex

Il n'existe qu'un seul chien légiste.

le toutou Rien

Il suffirait de presque rien

Un seul chromosome de plus et je ne sentirais plus le besoin de justifier ma présence.

ici et ailleurs

Oubli

Dites, le bonhomme sept heures, c'est le matin ou le soir ?

la brume matinale

Urgence

Il me faut de dépêcher, mon réveil sonne dans huit minutes.

le somnanbule

Message subliminal

Je suis expert en café comme en thé.

le fruit de la passion

Découverte matinale

En passant par la Lorraine en allant chez monsieur réponse, j'ai trouvé ceci au pied de mon arbre : orangesky
Je sais que je ne devrais pas encourager la compétition mais je suis fait fort.

l'éclat de rire

Prévoir l'avenir *

J'ai réservé ma place à l'hôpital des anciens combattants.

Alex Hilton

* Parce que prévoir le passé, hein ?

Aveu

Pour faire parler de moi, je parle de cul.
Pour faire parler de lui, le cardinal Ouellet parle d'avortement.
C'est un peu la même chose, non ?

le viol d'une jeune fille douce

Arrière scène

Je passe quand ?

le mauvais quart d'heure

lundi, mai 17, 2010

Variation

Au lieu de dire : comment ça va ? je vais dire : comment té ?

l'écran interactif

Genre

Le féminin de maire étant mairesse, celui de maître ne devrait-il pas être maîtresse ?

la petite Roberte

Identité

Je suie.

le ramoneur

et les gagnants sont

Avec brio, les français remportent la palme : non seulement ai-je eu 8 visiteurs mais 7 d'entre eux sont à la recherche de "masturbation".
Et il faut faire l'éloge des pudiques : fellation et clitoris ont fait chou blanc.

le père Turbation de la Main Droite

Sexe, orgasme, fellation, clitoris, érection, masturbation

Vous ne pourrez pas dire que je ne fais pas des efforts pour attirer le touriste.

les voies de Google

Invitation personnelle et collective

Demain semble si intéressant qu'on devrait tous s'y rendre ensemble.

le G.O.

Heureusement

Le grand titre de La Presse de ce matin fait référence à la défaite des Canadiens hier soir : "Rossés".
Vous me connaissez, je ne suis pas du genre à me laisser aller à des jeux de mots faciles, voire simplistes.

la lettre c

P.S. Et bienvenue Soeur Clarisse

dimanche, mai 16, 2010

Détrompez-vous

Les innombrables lecteurs de ce blogue savent que je privilégie la quantité sur la qualité.
Alors, c'est dans un esprit de complète modestie que je publie l'insignifiance suivante qui, de surcroît, est sexiste jusqu'au coeur du noyau (vous voyez bien, je n'ai aucune excuse en avouant ma conscience de mon inconscience):
Mesdames, aucune intervention chirurgicale ne saurait vous libérer de votre profonde culpabilité d'avoir baisé avec le beau-frère de votre voisine (qui non seulement est équipé comme un ouistiti mais se sert de sa bricole comme un orang-outan) d'où ma signature de l'heure.

la ligature des trompes

P.S. Qui aurait été moins subtile mais plus facile à comprendre si j'avais choisi de l'écrire : la ligature détrompe (d'où le titre de cette infâme médiocrité).
P.P.S. Je suis vraiment mortifié d'écrire des conneries à ce degré de connerie.
P.P.P.S. Mais il me faut m'assumer même si vous préféreriez que je m'assomme.
P.P.P.P.S. Devant votre inertie congénitale devant mon délire de P.S. je vous réserve pour dans pas longtemps mon délire de notes en bas de page (j'en ai toute une gamme).
P.P.P.P.P.S. Drew, j'aimerais bien savoir que tu pèses dans les 300 livres, cela donnerait du poids à mon lectorat.
P.P.P.P.P.P.S. Merci Milady.

Doute

Même si La Presse n'est pas publiée le matin comme je le souligne si subtilement dans mon dernier billet, ce matin, sur cyberpresse on peut lire : "Xavier Dolan dans l’œil du cyclone" et je me demande s'il ne s'agirait pas d'une subtile allusion à son orientation sexuelle.

le père d'un gay

Prendre son temps

Le dimanche matin il n'y a pas de Presse.

l'abonné

vendredi, mai 14, 2010

Sans inquiétude

Quelques heures d'absence.

le + ou - 24

Pas de chance à prendre

L'autre jour j'ai acheté un sac (vous allez voir comme j'ai de la suite dans les idées) de noix d'acajou. Sur le sac une étiquette précisait : Attention, peut contenir des noix.
Sans hésiter, j'ai pris la décision qui s'impose : je me suis fait tatouer : " Attention, contient des noix " sur le scrotum.

l'évitement du malentendu

On se calme

J'ai beau tirer le diable par la queue, je n'en reste pas moins hétéro à 100% (minimum).

le droit chemin

Précision

Ce n'est pas parce que mon silence n'est pas noir que je suis raciste. J'ai déjà précisé que je ne suis ni raciste, ni sexiste mais que je déteste tout le monde de la même maudite manière avec la même maudite intensité. Mais si vous me demandez pourquoi, je vais vous haïr encore plus.

l'ami de tous (les naïfs)

P.S. exception faite de ceux qui lisent ce blogue
P.P.S. avec une place toute spéciale pour ceux qui laissent des commentaires
P.P.P.S. et une place vraiment chaleureuse pour tous ceux qui laissent des commentaires et qui sont des celles

Silence

Mais il n'est pas noir.

l'éclipse annoncée (?)

mercredi, mai 12, 2010

En compétition ce soir

Les Canadiens de Montréal contre le neurone ectopique.

à demain

autre bonne nouvelle

Le doc vient de me rappeler : suite aux examens de ce jour ma médication est diminuée.

le bye-bye effets secondaires

C'est officiel

Le festival de canes est ouvert.

l'ouvre-boîte

Voix de cons

Selon l'agence France-Presse : De nouvelles voix s'élèvent contre Tintin au Congo.
Faut-il avoir assez de temps à perdre et le goût profond de se ridiculiser en s'en prenant à une oeuvre semblable.
Même Mein Kampf (pour ceux qui ne le savent pas ou même l'ignorerait, c'est un pamphlet écrit par un certain Adolf Hitler (si vous ne savez pas qui c'est, revenez demain)) a une, modeste, valeur historique (à court terme) mais le Conseil représentatif des Associations noires de France préfère appuyer un démarche judiciaire pour que ce livre pour enfants porte la mention "Raciste".
Je suggère plutôt qu'il soit assorti de la mention "bande dessinée" même si cela risque de créer une confusion misogyne avec "dessiné bandé".
Cette autre bande d'abrutis ne réalise pas qu'avec leurs agissements débiles ils ne font que de justifier le racisme de ceux qui confondent couleur de peau et déficience intellectuelle.

la fumée par les naseaux

De retour

Je reviens de chez le médecin.
Bonne nouvelle, il veut me revoir dans un mois.

le grand malade

mardi, mai 11, 2010

Étrange

Curieux endroit que ce blogue où les gens viennent moins la fin de semaine.

la position du missionnaire

P.S. Néanmoins, c'est plutôt sympa ici, je crois que je vais y revenir.
l'idée fixe
P.P.S. non pas le chien. Celui sur la photo n'est pas un celui mais une celle mais il ne faut pas le lui dire, elle croit qu'elle est un kangourou.

lundi, mai 10, 2010

Cliniquement testé

"Hostie de connasse de merde, tu le sais bien que je t'aime" n'est pas une formule qui fonctionne avec ma douce.

la chambre à part

Message intime

Assis toi sur moi.

ton cul

Détention

Ce soir je me suis livré à la police.

la pizza autonome

Coudon (reprise)

Pour un éclipsé, j'en suis quand même à mon septième billet aujourd'hui.

le faussaire

Mise en garde

Si on me dit que je suis en feu, je vais péter au frette.

le réchauffement climatique

Prise de contact avec la réalité

Je réalise que je suis plus P.S. que B.S.

la pauvreté intellectuelle

P.S. Coucou Drew, bonne fête encore !

Trop beau pour être vrai

C'est faux !

la vérité crue

P.S. Je n'ai pas encore rencontré de vérité cuite.
P.P.S. Suis-je normal ?
P.P.P.S. Non docteur, la dernière question n'est pas pour vous.
P.P.P.P.S. Je sais très bien ce que vous en pensez.
P.P.P.P.P.S. Et ça ne fait pas mon affaire.
P.P.P.P.P.P.S. J'espère que le prochain billet sera meilleur parce que celui-là fait vraiment dur.
P.P.P.P.P.P.P.S. Si je me rends encore à 10P on va encore m'accuser d'être dissipé.
P.P.P.P.P.P.P.P.S. Yatu quelqu'un qui pourrait les compter sur moi.
P.P.P.P.P.P.P.P.P.S. Je compte sur vous.
10P. S. Ça y est, je l'ai encore fait.
10P + 1P.S. Un ordinateur, ça peut tu manquer de P à un moment donné ?
10P + 2P.S. Vous ai-je déjà parlé de la futilité d'essayer d'établir de nouveaux records sur la blogosphère ?
10P + 3P.S. Ça fait quand même treize mais on dirait que c'est moins pire écrit de même (c'est pas que je sois superstitieux mais on est jamais trop prudent (encore une maudite phrase pré-fabriquée, niaiseuse au cube)). (Pour le décompte des parenthèses, je ne suis pas très fort non plus). N.B. Ce P.S. compte pour trois.

Avis

Ne les écoutez pas !

le psychiatre des deux zozos du précédent billet

P.S. Un neurone c'est pas mal plus dur à psychanalyser qu'on pourrait le croire.

It's a goal !

Le précédent billet avait pour seul but de justifier le titre de ce blogue.

l'avocat de l'intéressé

Opportunité

Si je pouvais me payer un bon dédoublement de personnalité, quelque chose de vraiment bonne qualité, je serais deux fois plus intelligent et je pourrais écrire deux fois plus de billets.

un neurone bientôt deux

P.S. Pour me faire parvenir des fonds, afin que je puisse acquérir une personnalité solide, retournez dans les archives sur le réunionisme et utilisez le même lien. Merci d'avance.
P.P.S. Je ne pourrai toutefois vous faire parvenir de reçu pour fins d'impôt sauf si j'achète une personnalité comptable, mais c'est trop cher (c'est comme du neuf, ça n'a jamais beaucoup servi)
P.P.P.S. Salut Yves !
P.P.P.P.S. Plus il y en a plus c'est le fun.
P.P.P.P.P.S. Mais il y a quand même des limites.
P.P.P.P.P.P.S. Mais les limites, je n'ai jamais été très bon là-dedans.
P.P.P.P.P.P.P.S. Je vous laisse la place dans les commentaires.
P.P.P.P.P.P.P.P.S. Merci !
P.P.P.P.P.P.P.P.P.S. Il ne faut jamais oublier d'être poli, on ne sait jamais à qui on a affaire. Bonjour monsieur Charest.
10P. S. Rendu au dixième, ça prend un système décimal.
10 P + 1P. S. Mais il y a un risque de surexposition.
10 P + 2P. S. Salut les copains, vous me suivez toujours ?

dimanche, mai 09, 2010

Coudon

J'avais pas parlé d'une éclipse moi ?

le faux prophète

Hé ben dis donc

Sur cyberpresse, on peut apprendre que : "Les démineurs canadiens courent de sérieux risques en Afghanistan." J'en suis tout déroutée.

la pomme de route piégée

reporté mais pas à cause de la pluie

L'entrevue que Bobosse devait m'accorder a été reportée à une date ultérieure non déterminée. Bobosse était trop saoul et moi pas trop sûr.

l'incertitude particulière

Excellente publicité

La boîte d'un de mes biscuits préférés affirme fièrement qu'ils ne contiennent plus que 70 calories chacun alors qu'ils en avaient 100.
Maudite bonne manière d'annoncer qu'ils ont réduit leur grosseur de 30%.

le consommateur averti

P.S. (ben oui encore, j'chu chez moi s'tie) c'est écrit un peu tout croche ce qui est tout à fait avec mon humeur du jour

?

J'entends souvent souvent mais souvent quoi ? Aucune idée.

la frustration incomprise

P.S. Je suis dans une mauvaise journée, faut m'excuser.

De circonstance

Bonne Fête les petites mères !

le fils charmant

Le boxeur en reprise

Ce n'est pas pour me vanter mais j'en ai mangé une tabarnak hier. J'ai l'âme toute bleue ce matin.

le roi mort

WOW !

Stupéfiant ! Il y a quelqu'un en Tunisie qui est parvenu jusqu'à ce blogue en cherchant les mots sexe et photo sur Google. J'espère que ma chienne lui a plu.
À moins qu'il ait trippé sur la magnifique illustration de mon illustre personne en bas de page (à laquelle Lurch tient à ce que je précise qu'il manque mon gros nez, mais personnellement, ça ne me manque pas tellement).

la répulsion du zoophile

samedi, mai 08, 2010

comme d'habitude

Encore une journée dure.
Mais dans le fond, je me demande si je n'aime pas mieux ça qu'une journée molle. Un peu dégueulasse, non ?

la terre ferme (mais je ne sais pas à quelle heure)

Le sexe des chars

Comment ça marche ?
Pourquoi une Audi mais un Hummer ?
Un Dodge et une Mazda ?
Un Ford mais une Ford Mustang ?
Un Volks et une Volkswagen ?
J'y perd mon latin, il faudrait demander à monsieur Réponse.

la pédale au fond (c'est ma femme qui va être surprise)

Dans le fond

La mort ne gagne jamais parce que la mort ne joue pas.

hors jeu

Humeur matinale

Tigran Hamasyan
Il sera au festival de jazz et avec un peu de chance, j'y serai aussi.

les papillons dans l'estomac

Le boxeur

Je remonte sur le ring dans quelques heures.
On ne peut livrer de combat sans prendre de coups sur la gueule. La douleur sera au rendez-vous, on peut compter sur elle.
La défaite est dure à encaisser mais on oublie que la victoire, si glorieuse puisse-t-elle sembler, ne se mérite qu'en infligeant une défaite. Une culpabilité rarement ressentie, rapidement évacuée.
Et les combats nuls sont encore pire, il n'y a pas de vainqueur, il n'y a que deux défaites.

le joe louis

Insomnie

Alors que la mort m’approche à pas feutrés, je réalise à quel point j’ai manqué le bateau sans pour autant ne jamais m’approcher de la terre ferme.
Mes meilleures blagues m’ont valu des claques sur la gueule, mes pires insanités ont déclenché des rires qui m’ont parus obscènes.
Mon personnage aura vécu sans connaître son rôle, une réplique en retard, une autre en avance, comme un tricot de délire.
Ma vie n’aura eu d’autre sens que celui que j’aurai bien voulu lui donner moi qui n’ai la moindre notion d’orientation. Faudrait-il que je me surprenne de ma dérive ? Je n’ai peut-être même pas la décence de ressentir comme un échec ce parcours erratique où je me serai contenté d’essayer de me rendre utile. Je ne ressens rien de la culpabilité des fantômes.
Et si ma vie n’avait été qu’une perte, tant pis, je ne serai pas le premier à me plaindre.

la fin du naufrage

vendredi, mai 07, 2010

Démenti

Non, je ne suis pas Fred Pellerin mais si j'étais lui ça ne me tenterait pas de vous le dire.

un fan

Nouvel avertissement

AvertissementAvertissementAvertissementAverti
ssementAvertissementAvertissementAvertisseme
ntAvertissementAvertissementAvertissementAve
rtissementAvertissementAvertissementAvertiss
ementAvertissement Avertissement (le
petit gros de la gang)Avertissssssssssssssss
ssementAvertissementAvertissementAvertisseme
ntAvertissementAvertissementAvertissementAve
rtissementAvertissementAvertissementAvertiss
ementAvertissementAvertissementAvertissement
AvertissementAvertissementAvertissement
J'espère que vous avez saisi le message sinon vous pouvez m'appeler à la maison, mon numéro est dans l'annuaire sous le nom de ma femme.
AvertissementAvertissementAvertissement
AvertissementAvertissementAvertissement
Avertissement (brève récidive)
Suite à une autorisation des autorités compétentes (ce que Freud appelait le surmoi en pensant "viens sur moi ma cochonne" mais ça se passait simultanément dans son subconscient et dans son sous-bassement) j'ai retiré l'avertissement sur le contenu en échange de la promesse de publier l'avertissement suivant :
Attention soyez avertis, ceci est un Avertissement !
La lecture de ce blogue procure un plaisir qui croit avec l'usage.
Risque de créer une dépendance mais ça dépend pour qui et combien ça coûte.
Présente des dangers considérables de diminuer votre quotient intellectuel mais n'aura aucun effet sur votre libido à moins de le lire sous l'effet du Viagra ce qui n'est pas recommandé à cause du risque de créer des interactions susceptibles d'entraîner des commentaires mais si c'est vraiment plate ça pourra vous donner des idées de faire autre chose comme du tricot si vous êtes une fille.
Avertissement : l'avertissement est maintenant terminé.

le consentement éclairé

Nouvelles excuses

Très cher lectorat adoré (je dore la pilule depuis que je sais que des femmes, et quelles femmes !, me fréquentent), ayant une passion pour les excuses, je me laisse aller au soulagement de mes pulsions les plus intimes.
Pour un bon millier de raisons, je fréquente peu la blogosphère, d'abord parce que mon ordinateur principal est dans une des zones sinistrées de ma cabane de sorte que j'utilise un détestable portable pour satisfaire votre soif de moi, mon blogroll étant enfoui sous les décombres.
La seconde est le manque de temps : j'en passe beaucoup à essayer de nourrir votre intellect à même la sueur du mien.
Je vous laisse le soin de deviner ou d'inventer les autres (il en manque 998).

l'acte de contrition

jeudi, mai 06, 2010

auto-publicité

http://camiondidacte.blogspot.com
J'aurais dû écrire ce billet quand Drew a dirigé un important groupe de lecteurs vers mon dépotoir mais je n'écris (malheureusement ?) pas que des niaiseries. Il y a donc un site où j'essaie de camoufler mes tares congénitales et mon début de démence. Je vous y invite même si c'est plate à mort (c'est le cas de le dire).

la congestion cérébrale

P.S. Avec tout le temps que les gens ont a perdre de nos jours, j'imagine un fêlé faire une thèse sur : "les pseudonymes dans l'univers neuronal". Ben, j'ai pas fini de te fournir du matériel, homme du futur.

Éclipse

Ceux (les privilégiés) qui me suivent depuis longtemps (moi-même j'ai du mal à me suivre) savent que le neurone est cyclique. Les périodes de sécheresse succèdent aux périodes de pluie. J'ai l'impression d'être en train de me tarir.

la prévision d'une pause

Petit poème macabre

Jadis, je suis né, je n'aurais peut-être pas dû
Ce matin, je me suis levé, je n'aurais sans doute pas dû
Demain, je vais mourir, je devrais, pour une fois, y penser deux fois

l'idée fixe

Indécence totale

Sur delirium, je viens de réaliser que je n'ai qu'un seul membre et que c'est une fille. Ça me perturbe (le mot est faible mais traduit bien mon désarroi).

l'image corporelle

P.S. Merci Miss Candy (est-ce que ça voudrait dire que mon membre, c'est du bonbon ?)

Renoncer

Avec le temps qui passe et la mort qui s'approche au même rythme, il me faut renoncer à pleins de projets qui me tenaient à coeur, comme escalader l'Everest en patins à roues alignées mais mes chevilles sont un peu faibles et mes poumons mités alors à l'heure de faire des choix, je vais prendre un club sandwich viande blanche avec une root beer pas de glace.

le menu menu

mercredi, mai 05, 2010

Grande ouverture

Les lits Bideau !
Profitez-en pendant qu'il en reste !

le king size

revu et corrigé par le neurone

Toujours sur cyberpresse, la citation du jour :
" Je n'ai aucun squelette dans mon garde-robe. "
Yvan Delorme, chef démissionnaire du SPVM
Bizarre autant qu'étrange, l'expression populaire parle pourtant de squelette dans le placard.
Y aurait-il anguille sous pierre ?

la déformation proverbiale

le sens des valeurs

Un médecin de famille pour 499$? c'est le titre de la chronique financière de Michel Girard dans La Presse de ce matin.
Je trouve ça un peu cher mais je n'ose pas lui demander : c'est combien pour une pipe par une professionnelle de la santé ?
Je ne serai peut-être pas moins malade mais je vais certainement me sentir mieux.

l'extrême onction

histoire des mille et un ennuis

Ma vie est un véritable conte de dépenses.

le bord de la faillite

Girouette

Je devais changer mon nom pour Faisal Shahzad mais suite aux derniers évènements j'ai changé d'idée.

Larry Tournel

Faites-vous pas d'illusions

J'ai changé mon image mais non, je ne prends pas pour un chien même s'il est déjà arrivé que l'on me traite comme tel et de tel. Mais Cléo est beaucoup plus belle, attachante et attachée que moi. Et elle s'en sacre d'être reconnue sur la rue. Si jamais vous la voyez il y a de bonnes chances que le gars à l'autre bout de la laisse, ce soit moi. Alors, ne me demandez pas lequel promène l'autre.

Couché Fido !

mardi, mai 04, 2010

Finalement

Quand on y pense, la seule différence entre un musulman et moi, c'est l'islam.

l'égalité de l'homme et de l'homme

Non-sens

J'ai pris connaissance de l'avertissement et je souhaite continuer
Demandez moi pas si j'accepte son ciboire de contenu, gang de morons dégénérés, c'est moi qui l'écrit st'ostie de blogue en marde.

imfon sacrer

perplexité complexe

On ne me reproche toujours que mes défauts, mes qualités seraient-elles irréprochables ?

le plus-que-parfait du subjugué

YES !!!

J'ai déjà reçu une proposition pour faire (au moins) un long métrage avec les péripéties de Bobosse.

la fortune du chanceux

Bobosse au restaurant : la suite II

Encore une fois, je vous prie d'apprécier à sa juste valeur ma célérité et vous convie à lire la suite de ce merveilleux feuilleton.
Pour vous aider à vous orienter, je publie, en rappel, l'intégralité de Bobosse au restaurant : la suite I
Il me fallu à peine une dizaine de minutes pour réaliser que je tenais le menu à l'envers mais le tourner à l'endroit me fit l'effet inverse :
Papillote et malédictions ! je ne connaissais qu'un seul plat figurant sur ce menu, le pâté chinois, un met qui me conviens mal compte tenu de ma xénophobie discrète et de mon intestin grêle fragile.
Je fis donc signe à la jeune dame à la jupe courte et remarquai que, bien que j'étais le seul client, elle avait manqué de temps pour bien attacher sa blouse.
- Écoutez, mademoiselle, ça me gêne d'avoir l'air de vous donner des ordres mais je voudrais quand même commander.
- Et qu'est-ce que tu veux mon lapin ?
Je veux bien croire que j'ai de grandes incisives mais j'eus du mal à tolérer un tel manque de tact.
- C'est pas chinois, je veux du pâté. Non, je veux dire : je voudrais du pâté chinois, s'il est fréquentable.
Cette malicieuse allusion passa, incomprise, complètement inaperçue mais fit quand même disparaître la serveuse vers la cuisine, en quelque sorte.
Mon repas fini par arriver et me fit mieux apprécier le temps d'attente.
Il faut dire que si le pâté chinois ne s'illustre généralement pas par ses couleurs, ici, il sombrait carrément dans l'anémie. Je veux bien croire qu'un pâté doit nécessairement (Hey Lurch, tu devais l'attendre celle-là*) être pâteux celui qu'on me servit généreusement péchait par excès de zèle. Heureusement, une quantité phénoménale de ketchup le réanima tant au niveau de la couleur que du goût même si cela n'améliora pas la texture.
Pour faire une histoire courte, je finis par finir, manger m'ayant comme d'habitude coupé l'appétit, et sans essayer de me soustraire à l'addition je me résolu à payer beaucoup plus que ce ma satisfaction m'aurait incité à le faire.
Je demandai la sortie, on me dirigea vers la toilette et je sautai sur l'occasion de succomber à la tentation la fragilité de mon grêle ayant signaler à mon colon la nécessité de prévenir une occlusion.
Bref, ce fût l'unique incursion solitaire de Bobosse dans un restaurant. Si l'histoire vous a plu, gardez ça pour vous, j'aimerais mieux m'abstenir d'écrire à nouveau un tel ramassis de niaiserie.

l'épuisement intellectuel

* Pour ceux qui ne s'appellent pas Lurch et qui n'ont pas connu le vrai Bobosse sachez que ce professeur arrivait à placer une trentaine de "nécessairement" et une soixantaine de "donc" dans une seule heure de cours le seul intérêt de celui-ci étant de calculer les nécessairement, les donc et à établir une saine moyenne (60% minimum)

lundi, mai 03, 2010

Bobosse au restaurant : la suite I

Il me fallu...
Quand je fais ça court, je fais ça court.

neurone le bref

Bobosse au restaurant

Alors là, chers lecteurs, vous ne pourrez pas dire que je vous ai fait languir.
Voici donc un résumé de la mémorable incursion de ce cher Professeur, pas aussi sourd mais beaucoup plus con que Tournesol.
Je vous épargne les italiques parce que dans le fond, tout est de moi (bon d'accord, ce n'est pas une référence mais c'est quand même une réalité).
En passant devant un restaurant, je réalisai que j'avais faim ce qui est à la fois une coïncidence et une opportunité. Ayant chercher pendant moins d'une heure comment pénétrer dans cet établissement, je le fis à la fois judicieusement et prudemment. M'avançant en territoire inconnu, et en autant que je pouvais le savoir à ce moment-là, potentiellement inexploré, je demandai à la première personne que je vis, malgré qu'elle afficha une mine patibulaire, en autant que je pouvais en juger avec ma myopie :
- Qu'est-ce que vous voulez ?
Et ce individu de me rétorquer du tac au tac, je le soupçonnai d'être un expert en arts martiaux :
- Ce serait plutôt à moi de vous demander ça ?
Inutile d'essayer de fuir, je savais pertinemment que je n'arriverais jamais à retrouver la sortie, du moins sans assistance avant que le malabar me rattrape.
- Et pourquoi ?
- Parce que je suis le restaurateur.
Je n'étais guère rassuré, surtout sur la qualité de la nourriture compte tenu de l'odeur que dégageait ce triste sire, mais j'étais piégé.
Je lui dis alors, avec le profond sentiment, qui m'est si familier, d'être incompris.
- J'ai quelque argent à échanger contre de la nourriture dont vous faites le commerce, nous devrions pouvoir nous arranger, non ?
Il siffla entre ses doigts puis cria : Gisèle !
Je fus donc conduit, par cette dame, prénommée Gisèle, qui avait manifestement manqué de tissu lorsqu'elle avait confectionné sa jupe, jusqu'à une table d'allure bancale. J'hésitai un moment, me demandant si j'étais tenu ou même s'il était convenable de l'inviter à s'asseoir à cette table et quelles seraient les conséquences d'une bourde de ma part. Le temps d'aborder la question dans ma tête et elle était revenue en portant ce que je compris être le menu, ce qui me laissa perplexe parce que je m'étais pas aperçu de sa disparition. Heureusement, car un tel incident m'aurait sans doute troublé de même que ma digestion.
- Je vous laisse choisir, dit-elle mais il n'y avait personne d'autre dans la salle à manger.
Perplexe, j'explorai le menu qu'elle avait eu l'obligeance de me laisser et ressenti soudainement une grande angoisse.
Bon, ça suffit pour l'instant, je préfère les textes courts surtout quand c'est moi qui les lit.

le Bobosse synthétique

Rappel

Non, je n'ai pas oublié Bobosse (c'est un personnage inspiré d'une réalité que je voudrais parfois oublier) mais avec tout le chambardement que cause l'arrivée des femmes en ces lieux, il faut que je fasse le ménage.

le tas de linge sale

Une nouvelle ère (2ème partie)

Messieurs, nous avons connu l'âge des cavernes suivi de près par l'âge des tavernes mais ces deux époques sont désormais révolues. Et que je n'en entende pas un chialer, j'suis pas d'humeur à ça.
Désormais, il n'est plus question de venir me lire, et encore moins me commenter, en p'tit corps et en caleçon, même s'ils devaient être propres, ce dont je ne me permets pas de douter parce que je ne veux surtout pas que vous me fournissiez des preuves.
Messieurs, de la tenue, s.v.p. Pas de coudes sur le bureau ou de doigt dans le nez. On nous regarde.
Un phénomène que je n'avais osé imaginer s'est produit. Des femmes, au moins une et pas n'importe laquelle, une Lady, fréquentent ce lieu que je croyais que nous partagions, nous les machos, en toute intimité et en toute impunité.
Ben, voilà, cette époque-là aussi est terminée. Et ce n'est pas moi qui vais pleurer. Vous le savez, je suis prêt à être lu par n'importe qui. Alors, je le proclame : "BIENVENUE AUX FEMMES"

l'adaptation des mâles

Une nouvelle ère (1ère partie)

Je voulais commencer ce nouveau chapitre par quelque propos intelligent mais je n'ai rien trouvé.

la désolation totale

dimanche, mai 02, 2010

les 400 coups

Je garde un excellent souvenir de ce film de Truffault mais je ne saurais dire s'il a mieux ou moins bien vieilli que moi.
Pour mon 400ème billet sur delirium, il me fait plaisir de rendre un hommage à ce très grand réalisateur.

l'enfant sauvage

P.S. Drew, il m'en reste donc 774,232 à pondre.

Vous ne connaissez pas (encore) votre chance (inouïe!)!!!

J'ai reçu très récemment les dix-sept premiers tomes de la biographie du professeur Bobosse. Ils couvrent les vingt-cinq premières années de sa vie. Vous dire que c'est palpitant serait mentir surtout quand on considère que chaque tome fait en moyenne 657 pages, 2 paragraphes et il reste encore un petit bout de ligne.
Néanmoins, afin de tester le potentiel commercial de cette oeuvre qui devrait adosser quelques compagnies de somnifères à la faillite, je projette de vous en livrer tout à fait gratuitement (c'est vraiment un geste gratuit) quelques vigoureux fragments d'une époque psychédélique et transcendatale, époque où l'on disait astap au lieu de lol.
Pour vous faire saliver je vous annonce que le premier extrait (en fait un résumé des 74+ pages qui portent sur le sujet) décrira la première expérience du professeur dans un restaurant, sans être accompagné de sa mère (elle a eu un léger empêchement, étant morte depuis trois ans, six mois, une semaine et quelques heures, l'auteur ne nous le précise pas suffisamment, probablement étranglé par une légitime émotion qu'il nous fait partager avec brio).
Juste pour vous donner une petite idée, sa sortie au restaurant se termine par une sortie du restaurant. Génial, je vous dis.

le "j'm'en peux pu de bonheur"

samedi, mai 01, 2010

Confusion potentielle

Ne dites-pas à celle qui partage vos ébats : j'adore profiter de ton corps et de ses largesses.

l'aviseur de ces messieurs

Déclaration

J'avais rien à dire alors je vous le dis : rien.

le devoir accompli

Direction

Si vous allez sur :

http://unpsysvp.blogspot.com

vous vous retrouverez juste ici.

coudon y s'en vient-tu le psy ?

le patient impatient

Félicitations

Je tiens personnellement et sincèrement (... je vous laisse de la place pour tous les adverbes qui pourraient vous plaire...(les points de suspension sont en vente chez Canadian Tire)) à me remercier personnellement et sincèrement (...récidive...) pour avoir résisté à la brûlante tentation d'écrire 774,632.1416 dans mon dernier billet.

le nombre pi

grave décision

Après mûre réflexion, j'ai décidé de limiter à 774,632 le nombre maximal de billets que je publierai dans ce blogue. Je compte donc sur votre ardente collaboration pour me signaler toute redite ou tout radotage afin que je puisse tirer un maximum de cet espace restreint.
Et surtout, ne me contactez pas pour me demander de revoir à la hausse le nombre de mes conneries, comme dans ma tendre adolescence, je serai inflexible.

le début du décompte

pour en finir avec le svastika

Pour ceux qui l'ignoreraient ou qui ne le sauraient pas, le svastika est le symbole que les nazis ont souillé en l'utilisant pour leur croix gammée.
Hors on abuse depuis la fin de la deuxième guerre mondiale pour dénoncer plein de trucs qui n'ont pas rapport, genre encore ce matin en Arizona pour décrier une nouvelle loi contre l'immigration illégale ou à Calgary dans une campagne (le terme est assez bien choisi) contre l'avortement.
Donc, pour en finir avec le svastika (c'est bel et bien un terme masculin, à la grande joie des féministes qui se réjouissent souvent de pas grand chose, ces tristes sires) il nous faudrait :
un nouvel Hitler pour finir ce que le premier a commencé avec les juifs
un autre pour nous débarrasser des noirs
un pour les infirmes, les homosexuels et les vieux
pour les musulmans, il nous en faudra bien trois
puis cinq pour en finir avec les asiatiques de tout acabit
et un ultime pour détruire le reste de l'humanité et enfin libérer la planète de notre présence encombrante et destructrice.

peace and love

P.S. Il faut bien que je justifie, à l'occasion, l'avertissement sur le contenu de ce site

Savoir

"Je suis tombé sans connaissance"; le malade
"Je l'ai toujours été"; l'ignorant

le p'tit Joe connaissant