mardi, septembre 23, 2014

le cadeau des pauvres

À chaque Noël, mes parents nous demandaient de choisir un de nos cadeaux pour offrir à un enfant pauvre.
Il m'a quand même fallu plusieurs années pour comprendre que le choix de ce cadeau avait déjà été fait par ma mère. Pas de risque d'offrir "généreusement" notre plus beau cadeau, ma mère refusait jusqu'à ce que l'on tombe sur le bon.

les vielles traditions

mardi, septembre 16, 2014

Glock around the clock

Ainsi les policiers de Montréal serons maintenant équipés de Glock 17.
Les 4,900 armes du service de police ne servent que rarement et un policier ne peut utiliser son arme sans que les médias se jettent sur la nouvelle.
Dans des villes à criminalité élevée, Los Angeles est l'exemple classique, on tire encore comme à l'époque du Far West.
Les États-Unis sont d'ailleurs bon champions des décès secondaires à des balles.
Mais ici, doter nos policiers de 9mm. comporte des risques aux deux bouts de l'arme.
Si j'avais un tel revolver dans les mains, il me semble que j'hésiterais davantage à tirer qu'avec une arme de moindre calibre. Une hésitation qui pourrait me coûter la vie.
Et se faire tirer dessus avec un aussi fort calibre diminue les probabilités de survie et augmente celui de garder des dommages permanents.
Bref, je pense que la décision d'équiper nos policiers de telles armes de destruction massive n'est pas la meilleure idée de l'année.

le pétard à mèche

Du côté de chez Arthur

Je suis toujours un peu torturé par la crainte de répéter dix fois les mêmes rengaines, mais le cas échéant, je suis certain d'être pardonné par mon fan club.

Nous sommes en 1978 dans le sud des États-Unis (Floride ou Californie, je ne saurais dire).
Plus exactement dans un parc d'attraction dans lequel on retrouve un gigantesque ( nous sommes aux States, non ?) enclos où des entraîneurs dressent des fauves.
L'un d'entre eux est coincé sous une lionne qui ne veut plus bouger de là.
N'écoutant que mon courage, je sors mon sifflet que j'ai plutôt strident pour attirer l'attention du gros matou et je sors mon fils de son carrosse pour l'offrir en pâture à la lionne.
Au petit trot, celle-ci s'approche, vient prendre une bonne bouffée d'une couche urinaire et s'en retourne sans que cela ne devienne l'évènement de sa journée.
L'entraîneur, lui, m'a fait un geste de remerciement auquel j'ai répondu par le "peace sign" de l'époque.
Mon épouse a assisté à la scène sans en faire une.

le neurone dompteur

Vous l'avez sans doute déjà deviné

Delirium sera désormais mon unique portail unique.
Je n'écris plus assez pour me disperser aux quatre coins de la blogosphère.

l'importance du nombril

C'est de famille

Ce besoin presque compulsif de vouloir faire les choses différemment.
Ainsi pour souhaiter bonne fête à mon frère hier, je lui ai écris :

Joyeuse Annie Verchères !

vendredi, septembre 05, 2014