À la demande générale de zed blog, voici ma première mouture du cantique du baseball, intitulée : l'après-match.
Comme prévu les spectateurs se sont dispersés
Mais la partie n'est pas finie
Elle ne le sera que lorsque nous aurons atteint l'équilibre
Pour l'instant, le seul gagnant est le temps perdu
Mais la perte est légère quand le temps est emprunté
Et que bientôt, il n'y aura plus personne à rembourser
le poète subliminal
Beauté
Il y a 1 jour
3 commentaires:
L'après et l'avant, ça marche encore, cette linéarité temporelle?
Oh, mais que voit-on tandis qu'ils s'en vont? Mais, ce sont les visiteurs qui arrivent?
Neurone, je ne suis pas du tout, mais alors là, pas du tout pressée pour l'équilibre. Toi? Je pense que tu t'amuses bien dans ce jeu entre les deux. Au temps perdu, je préfère le temps volé. C'est celui - l'expression n'est pas de moi, hélas, je m'en veux - que l'on passe, dans notre tête, à l'abri (momentané?) de la surveillance des patrons, à rêver ou à penser à des trucs personnels absolument non-productifs. Hihihihihi!
Merci, mon demandeur général, la générale demanderesse Zed
Pour les lois de la physique, le temps est presque toujours réversible.
Mais l'expérience quotidienne nous a profondément imprégnés de sa linéarité.
On n'a qu'un choix, prendre son temps pendant qu'il passe ou quitter la scène.
le tic-tac de la montre
Ne préfères-tu pas la tactic(que) de Dali?
:)
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