mardi, avril 03, 2007

le 69ème

Compte tenu de la situation délicate de ce billet, je préfère donner la parole à quelqu'un d'intéressant qui saura respecter les limites de la décence.
Un passage du roman que je lis ces jours-ci qui saura en intruire quelques-uns parmi vous comme il a su m'instruire moi-même. Pour vous placer dans le contexte, il est ici question de la peste :
" On avait d'autant plus tendance à croire au pouvoir des pierres précieuses : les pauvres ne portaient pas de rubis, et ils mouraient. Le nec plus ultra était le diamant, la protection par excellence : " Le diamant porté à la main gauche passe pour neutraliser toutes sortes de devenirs. " C'est ainsi qu'en gage d'amour les hommes fortunés prirent l'habitude d'offrir un diamant à leur fiancée, pour les protéger du fléau. "

l'amour en gage

1 commentaire:

lurch agoratoire a dit...

Et qui protège les enfants-soldats du Sierra Leone contre le fléau des diamants?

durs sont les diamants