Un jour, la mort a frôlé le neurone.
La mort a eu un frisson (d'anticipation).
Le neurone a eu chaud (ne comptez pas sur moi pour ajouter : de pisse. Je suis le neurone, pas San Antonio qui, lui, est déjà mort, un sort que, parfois, je lui envie (et il ajouterait : de pisser, parce que s'il est croche il a quand même de la suite dans les idées).
la partie remise
Je regarde en moi-même
Il y a 45 secondes
1 commentaire:
ça va pas bin !!! Avec tes nouveaux médocs, il y aura moins de souffrance, je l'espère de tout coeur.
Sinon je te comprends parfois d'anticiper de manger les pissenlits par les racines. C'est pas humain cette souffrance (je me fie à toi, je sais pas c'est quoi souffrir du sang et/ou par le sang)
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