mardi, janvier 11, 2011

Deux

Rainette aura droit à une assist sur ce but là, mais il semble bien que j'amorce une série sur les nombres premiers.
Deux est officiellement le premier de la liste ce qui est déjà paradoxal.
Ceux qui comme moi ont été élevés (un bien grand mot en ce qui me concerne) dans la sacro-sainte religion catholique savent qu'en s'unissant (sous-entendu : sexuellement parce que dans le temps le mot était à l'index et on ne sait trop où était l'index en question, surtout dans les collèges où les petits gars étaient pensionnaires) un couple ne devenait plus qu'un. C'était, il faut bien le reconnaître, une vision bien génitale de la chose, surtout pour cette époque où la pudeur était de mise (et bien des épouses mal mises). De nos jours, le deux ne devient qu'un que dans la synchronisme de l'orgasme, ce qui n'est pas un but en soit mais potentiellement un avantage de la longue expérience de l'autre et de la perte de la frénésie de l'adolescence.
Et à l'intention de tous les narcomanes à l'écoute, je tiens à préciser qu'une ligne s'étend toujours entre deux points.

le vraiment n'importe quoi

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Comme dans la phrase : "Deux joints, ouvrez le guillerets."

Ou encore, comme dans la chanson de Charlebois : "Entre deux points, tu pourrais faire que'que chose".

RAINETTE (l'énigmatique) a dit...

Les hommes aussi s'emboîtent bien, ils ont tout prévu au cas où la famme se barre....et elle avait toutes les raisons de le faire, à l'époque où elles étaient mal mises (selon ton expression)

Et de DEUX !

C'est loin du n'important quoi, croa moi, croa moi!